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Freelance : comment décliner une mission sans pour autant fermer la porte ?

Freelance : comment décliner une mission sans pour autant fermer la porte ?

En tant que freelance à succès sur Kamatz, vous finirez tôt ou tard par être sollicité par des clients. Vous ne serez pas toujours en mesure d’accepter toutes les missions proposées. Décliner une mission peut arriver, c’est normal. Mais il convient de le faire habilement afin de ne pas fermer certaines portes. Comment refuser une mission freelance ? Kamatz vous dévoile ses meilleurs tuyaux.

La rançon du succès du freelance : quand les offres de mission dépassent ses capacités

Un freelance pur et dur n’a que deux mains. Son emploi du temps peut donc rendre l’acceptation d’un projet impossible. Cependant, il existe des tas de raisons qui peuvent pousser un développeur, un rédacteur ou un graphiste indépendant à refuser une mission

En général, il est parfois préférable de ne pas prendre un job. Tout accepter sans filtre pourrait avoir des conséquences bien plus désastreuses qu’un refus. Au final, vous devez toujours satisfaire le client. Si vous n’êtes pas en mesure :

  • De livrer dans le délai imparti parce que vous êtes surchargé ;
  • D’offrir un travail de bonne qualité, parce que le projet va au-delà de vos compétences ou que vous devrez le faire à la va-vite ;
  • De remplir la mission avec enthousiasme, ce qui pourrait impacter la satisfaction client ;

Il vaut mieux décliner poliment afin de garder la porte ouverte pour une collaboration future dans un meilleur contexte.

Nos astuces pour décliner un projet de freelancing

Peu importe les circonstances, la règle d’or lorsqu’on souhaite décliner un projet de freelancing, c’est la courtoisie. Prenez la peine d’expliquer à votre interlocuteur les raisons de votre décision. Insistez toujours sur le fait que vous serez ravi de collaborer avec l’entreprise lorsque les circonstances s’y prêteront mieux. Remerciez l’employeur pour son intérêt, qui vous flatte. Si vous répondez en une ligne que vous êtes full, votre interlocuteur aura l’impression que vous l’envoyez balader, même si c’est vrai.  

Même si des raisons personnelles sont à la base de votre refus d’une mission freelance, la vérité d’aujourd’hui n’est pas nécessairement celle de demain. Admettons que les affaires vont bien, et que vous n’avez pas un bon feeling avec un certain client. Lorsque vous traverserez une moins bonne période, vous serez peut-être très heureux de pouvoir le servir. Dans le monde du freelancing et des affaires en général, il faut toujours veiller à maintenir toutes les portes ouvertes.

N’oubliez pas non plus que si le réseautage peut avoir des effets positifs, cela peut également se retourner contre les freelances qui adoptent une attitude négative. L’arrogance est à proscrire. Si vous affichez du dédain lorsque vous refusez les sollicitations, votre réputation risque d’en pâtir. À terme, cela pourrait avoir un impact substantiel sur votre activité.

Comment refuser une mission en tant que freelance ? 

Voici les raisons principales susceptibles de vous mettre dans une position de refus. Ainsi la façon de procéder pour décliner sans couper les ponts avec le client.

La rémunération est insuffisante

En général, les freelances ont un tarif de base qui est tout de même flexible. Cette élasticité des prix est influencée par plusieurs facteurs :

  • La longueur de la mission : plus le projet important, plus le freelance peut baisser ses prix de base en échange de la garantie de travail
  • La nature de la mission : plus il est plaisant, plus le freelance sera enclin à faire un geste
  • L’emploi du temps actuel : plus un freelance a besoin de travail, moins il est gourmand
  • La fidélité du client : en cas de bonne relation, les freelances sont plus flexibles

Il arrive que la différence entre l’offre et la demande soit telle que le freelance ne peut financièrement accepter une mission. Si vous vous retrouvez dans un tel scénario, soyez franc avec votre interlocuteur. Expliquez-lui clairement que vous n’êtes pas en mesure de vous aligner sur la rémunération offerte. 

Cette honnêteté est susceptible de mener sur une négociation tarifaire durant laquelle les 2 parties pourront éventuellement s’entendre. Si ce n’est pas le cas, ce n’est pas grave. L’entreprise sera désormais au courant de vos tarifs. Si un jour ils deviennent acceptables, ou si elle finit par se rendre compte qu’elle offre trop peu, une collaboration sera toujours possible.

Vous n’êtes pas certain(e) d’avoir les compétences requises pour mener à bien la mission

En tant que freelance, vous devez savoir parfaitement de quoi vous êtes capable. Accepter une mission qui dépasse votre expertise ne pourra qu’avoir des conséquences négatives :

  • Le client ne sera pas satisfait
  • Il n’y aura pas de collaboration future
  • Votre réputation va en pâtir

Étayez honnêtement votre refus en expliquant que votre profil n’est pas idéal ou adapté pour mener à bien la mission. Admettons que vous êtes rédacteur, et que l’on vous propose de rédiger des articles sur la bourse. Expliquez que vous ne maîtrisez pas suffisamment cette thématique, tout en précisant vos domaines de prédilection. En plus de remercier le client pour son intérêt, concluez avec votre volonté de collaborer en cas de besoins correspondants à votre champ de compétences.

Le projet ne vous intéresse pas

Lorsqu’on démarre sa carrière de freelance, on n’a pas vraiment la possibilité de faire la fine bouche. Au fur et à mesure, on peut alors devenir plus sélectif. Lorsque vous avez ce luxe, vous allez devoir refuser les projets les plus rébarbatifs.

Il s’agit clairement du scénario le plus délicat. Il convient toutefois d’être franc quant aux motifs de votre refus. Remerciez le client pour son intérêt, tout en lui expliquant que vous ne travaillez pas sur des projets de ce type. Précisez que vous êtes à son entière disposition pour les types de missions que vous acceptez avec joie.  

Votre planning est déjà complet

C’est évidemment le motif le plus courant : votre emploi du temps est déjà complet. Accepter du travail supplémentaire ne pourra qu’engendrer des retards ou une baisse globale de la qualité. Il faut évidemment proscrire la surcharge. Car non seulement cela impactera le client qui vous confie cette mission de trop. Mais aussi vos autres projets en cours.

Dans ce cas, refusez poliment en expliquant qu’en l’état des choses, votre planning ne vous permet pas d’accepter la mission. Précisez à partir de quand vous êtes susceptible de démarrer le projet. Faites-le même si vous avez bien compris que ce sera trop tard pour le client. En procédant ainsi, vous lui démontrez clairement que vous souhaitez travailler avec lui. 

En conclusion : soyez honnête lorsque vous refusez une mission

Si l’excuse du planning est la plus plausible et la plus courante, ne l’utilisez pas pour justifier vos refus pour d’autres raisons. Cela passera jusqu’au jour où un client découvrira inopinément en discutant avec l’un de vos autres clients que vous venez d’accepter une mission après en avoir refusé une autre.

Cela vous placera dans la catégorie des menteurs, ce qui n’est jamais bon. Il est toujours possible de décliner avec élégance un job. Appliquez nos conseils et vous verrez que vous pouvez refuser une mission sans nuire à vos perspectives de collaboration future.

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